Suite aux froidures matinales de la veille, le départ est reporté à10h. Le parcours sur la "BERMA" de la nationale est aussi captivant que la veille et le vent légèrement défavorable use le Breton, une fois n'est pas coutume. Lors du repas, pris au village de Calamarca, les enfants qui sortent de l'école viennent nous voir. Nous découvrons, enfin les hispanophones découvrent, qu'ils parlent principalement l'aymara, l'ancienne langue officielle de l'empire inca. Après une nouvelle crevaison de Yann, nous inspectons nos pneus et y découvrons plusieurs brins de carcasse de pneus de camions plantés dans la bande de roulement. Encore une fois, les marathons + ont montré leur supériorité. L’arrivée sur La Paz est à la fois éprouvante et pittoresque. En effet, après 10 km en banlieue au milieu de la circulation (plus de bande d’arrêt d'urgence), nous devons nous faufiler entre les voitures, les mini bus, les taxis et les piétons, sur des routes pavées ou ondulées en forte pente (nous passons de 4100m à 3600m en 7 km!). Enfin, nous atteignons l’hôtel par un sens interdit.
Ecole offerte par la France
Marchand de vélos au marché local
Un concurrent
Photos volées (les femmes boliviennes ne veulent pas qu'on les photographie)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire