12 avril Tupiza-Atocha 103 km dénivelé 2200m
Enfin, elle arrive, cette fameuse étape 51 qui fait si peur à
Yann depuis 5 jours : « Vous vous rendez compte: 2800 m de dénivelé, entre 3000 et 4200, avec du
ripio et des passages à plus de 15% sur open runner ». Donc, le camion
a apporté les bagages à ATOCHA la veille et a ainsi pu reconnaître la route.
Finalement, selon les notes de Christian, "c’est plat jusqu'au km
31, il n’y a que 2200 m de dénivelé,
pas plus de 11%, un peu de ripio au début et, après, une route neuve, à part
quelques petits passages en construction". AVIS: mieux vaut ne pas le prendre comme
navigateur pour le prochain Dakar!!! Donc, c’est gonflés à bloc (sauf Y…) que nous partons et nous
nous retrouvons face à une route effondrée, 10 mètres plus bas. Après consultation des GPS des cartes, il reste
une piste qui grimpe, grimpe et rapidement les 42x42 ou 38x38 sont en action. Après quelques lacets,
un paysage magnifique s’offre à nous. On s’attend presque à y voir un ptérodactyle de
la vallée perdue...
Toujours dans de beaux paysages, nous rencontrons des
cantonniers qui finissent les espaces verts de la route. Au km 31, pas de camion
au rendez-vous prévu, donc, on commence, chacun à son rythme, la montée vers notre premier 4000.
Guy, avec 2 autres, va attendre le véhicule, la première partie ayant déclenché un début de mal au dos et vue la suite à venir, il a préféré assurer une fin de voyage sur le vélo.
Surprise à 4050m, un aigle, pas noir, tournoie et se pose à côté de Patrick mais surtout, plus loin, plus d’asphalte pour descendre à 3800 et remonter vers les 4200, juste une piste. Nous allons rouler sur un toboggan entre 4200 et 4000 et, suivant les conseils donnés par un routier, nous empruntons le lit de la rivière pour rejoindre la ville.
Guy, avec 2 autres, va attendre le véhicule, la première partie ayant déclenché un début de mal au dos et vue la suite à venir, il a préféré assurer une fin de voyage sur le vélo.
Surprise à 4050m, un aigle, pas noir, tournoie et se pose à côté de Patrick mais surtout, plus loin, plus d’asphalte pour descendre à 3800 et remonter vers les 4200, juste une piste. Nous allons rouler sur un toboggan entre 4200 et 4000 et, suivant les conseils donnés par un routier, nous empruntons le lit de la rivière pour rejoindre la ville.
Une des plus belles étapes par ses paysages mais aussi une des
plus éprouvantes.
La vallée perdue |
Récolte du maïs
Protection des plantations par des buissons d'épines La route sera parfaite... dans quelque temps! |
Enfin, un être vivant à qui parler dans la montée |
L'aigle |
Est-il beau, le Barbu Breton!!!(NDR)
Le point culminant |
Les vigognes
C'est sûr, vous êtes des fadas !
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