Après la traversée acrobatique d'un pont en construction, le groupe s’égaille dans les vallons et se retrouve au bout de 35 km pour un café revigorant car les températures restent fraîches le matin.
Nous sommes en permanence doublés par des camions de bois avec remorque qui, généralement, s’écartent sauf quand un confrère arrive en face. Dans ce cas, la bande d'urgence reste notre planche de salut. La technique utilisée par les Barbudos est la suivante: le dernier surveille les camions et les annonce, le premier, quant à lui, indique les imperfections de la chaussée. Les coupes forestières à blanc et les berges du fleuve Bio-Bio sont les seuls paysages remarquables de la journée. L'entrée dans la deuxième ville du Chili s’opère sans problème grâce au GPS de Gérard.
GUY , t'aurais pas oublié ton casque !!!!!
RépondreSupprimerPas du tout il est resté dans le véhicule
RépondreSupprimerPas très bucolique votre "route du bois" !!!
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